La porte principale

L'étanderd était à portée de tir. Pyrgus tira sa flèche qui enflamma l'étendard noir qui fut réduit à néant.

Une bonne chose de faite sourit Pyrgus

Aller, archers tirer à volonté détuisez moi les armes de sièges et la première ligne!!!

Les guerriers de Trichelieu se battaient vaillament contre la premiere ligne ennemi, ceux-ci devait se battre sur deux fronts. Pour l'instant l'infanterie perçait bien les lignes ennemies, se taillant une breche à grand coup d'épée batarde. Les mages cachés dans la foret enchainait les sorts non pas d'une grande puissance mais desorganisant les ennemis, alors que les soldats du Gouffre connaissent bien ce type de combat.

Les archers postés sur les remparts enchocher flèches sur flèches, les ennemis tombant de plus en plus. Mais hélas les renforts affluaient sans cesse.
Les trébuchets, placés sur les remparts écrasaient avec leurs projectiles des carrés entiers de Wargs.

Ca se passe plutôt bien sourit Pyrgus, qui regardait le déroulement de la défense.Hélas l'armée finit par atteindre les remparts et commencèrent à escalader les remparts, la porte étant trop solide. Balazük l'vait renforcé par des sorts, ainsi qu'avec de l'acier trempé de dix centimètres. Dès que une corde ou échelle atteignait le haut des remparts, elle était directement coupée, repoussant les assauts répétés.

Trichelieu sous l'afflu d'ennemi du se replier, rien ne le protegeait à part ses propres hommes !
Avant d'avoir trop de pertes il decida d'un combat d'embuscade dans la foret, seules les troupes d'Elite y resteront les autres iront defendre la tour.

REPLI !!!!

Les soldats s'executerent tuant ceux qui leurs barraient la route, arrivée dans la foret deux groupes de cinq soldats se formerent avec beaucoup de discipline, pour aller se cacher en foret.
Trichelieu en commandait lui-même un, une troupe de 15 ennemis arriva à leurs hauteur, lui et ses soldats leurs tomberent dessus et en quelques secondes les soldats n'etaient plus, leurs cadavres étaient cachés et c'etait réglé !
Ce fut comme cela jusqu'à ce que les differentes factions ne pouvaient plus cacher les ennemis, à ce moment la contre-attaque fut ordonnée, les soldats du Gouffre repousserent non sans mal les ennemis en dehors de la foret et reprirent le combat comme il l'etait auparavant, sauf que l'ennemi avait desormais moins d'hommes à sa disposition ...

Les assauts répétés des ennemis étaient sans cesse repoussés, mais hélas l'inévitable arriva. Une quinzaine de béliers arriva et força la porte, qui devait normalement tenir. Pyrgus, pour éviter tout risuqe, donna l'ordre aux archers de tirer sur les bélier pour les brûler, laissant les soldats ennemis monter le long des remparts... Ils montèrent sur les remparts et la vrai bataille débuta.
Pyrgus tranchait et tuait soldat sur soldat. Les pertes alliés étaient peu nombreuses, cela se passait encore bien... il ne fallait pas que des Dragons débarquent...

Trichelieu repussait sans cesse les assauts ennemis, mais les pertes etaient lourdes, bien trop lourdes ...
Il depecha trois cavaliers pour se rendre au Chateau de Gzor, où habitait un vieil ami à lui, il lui enverrait des renforts au plus vite .
L'assaut continuait mais les hommes fatiguaient de plus en plus quelque soit le camp, soudain un bruit sourd venant du fond de la vallée, le repli des ennemis, du moins pour un temps et pour le moment seulement sur le front de la foret, les autres etaient encore bien garni d'ennemis !

Pyrgus voyant que le combat se déroulait plutôt bien, prit sa gourde et but une rasade d'un liquide peu conventionnel. Soudain, une flèche vint se planter dans la gourde, le sauvant de peu... Pyrgus s'énerva, repéra l'archer situé a l'est des remparts. Il joint la distance qui les séparait et s'exclama:

tu sais combien elle m'as coûté cette boisson?? tu sais ?? tas vie ne vaut même pas cela... mais ça va pas m'empêcher de te tuer...

Pyrgus le planta et le lança en dehors de l'enceinte du château.

Va rejoindre tes amis fit Pyrgus cyniquement.

Balazük venait juste de placer sa dernière baliste à répétition quand des dragons de feu apparurent au large.

Préparez-vous ! Huilez les pierres et enflammez-les !